Le mois passé, nous avons fortement
attiré l’attention sur notre débitmètre électromagnétique. Ce débitmètre constitue
une solution fiable et économique pour les processus de production pouvant être
interrompus, et les processus aux liquides conductibles.
Cependant, la réalité est souvent
différente. Certaines conduites ne peuvent être interrompues et certains
liquides ne disposent pas du minimum de conduction indispensable pour les
mesures électromagnétiques. Heureusement, il existe également une autre
solution, à savoir le débitmètre à ultrasons.
Ce mécanisme d’action est
également relativement simple:
L’appareil de mesure de courant
envoie et reçoit des signaux
ultrasons par le biais de transducteurs. La vitesse de reproduction de ce signal
ultrason dépend de la vitesse du médium. Les
deux pulsations sont envoyées par le médium – une en aval, et l’autre en amont.
En mesurant la différence de temps de transit (=Δt) il est
possible de déterminer la vitesse du courant.
Le principe majeur consiste à ce
que les ondes sonores qui suivent le sens du courant, coulent plus vite que
celles qui remontent le courant. La différence entre le temps de transit de ces
signaux est directement proportionnelle à la vitesse de courant du liquide.
Le résultat est bien entendu
influencé par le diamètre du tuyau, l’épaisseur de la paroi, les
caractéristiques du produit et une série d’autres facteurs. Grâce à son électronique
intelligente le débitmètre Katflow en tient compte dans ses calculs.
